Une partie des actrices et acteurs du numérique militent et œuvrent pour l’encapacitation des personnes par la diffusion d’une culture numérique et par l’appropriation d’outils techniques. Cette approche est très bénéfique, et l’articulation avec les logiciels libres permet d’envisager un numérique « choisi et non subi », « émancipateur et non aliénant » pour reprendre les termes proposés par Louis Derrac dans sa définition d’un numérique acceptable1.