1.1 Besoins réels ✅
Partager des connaissances et des ressources sur la communication numérique responsable ; sensibiliser au numérique responsable ; diffuser des bonnes pratiques (règles, indicateurs, chartes…), des exemples et retours d’expériences, des méthodes de mise en œuvre… ; promouvoir les actions de Rennes, Ville et Métropole.
Besoin de donner accès à l’information sans exclure.
Cibles :
- agents publics
- entreprises
- auto-entrepreneur·e·s
- collectivités territoriales
- communauté du numérique responsable
- journalistes
- étudiants
Les éléments partagés peuvent être utilisés à des fins très diverses, dont certaines sont justes (accès au droit), et d’autres pas (promotion de pratiques inégalitaires ou anti-écologiques).
À plus large échelle, dans un monde soutenable, s’il est probable que certaines pratiques de communication disparaîtraient, d’autres seraient maintenues, notamment liées à l’information, au service public ou à la culture.
“C’est rassurant et inspirant !”
Josée-Claire Carrara Cagni (Nîmes)
Besoin réel de toucher une masse / grande quantité de personnes, quelle que soit leur localisation géographique / territoriale.
1.2 Au-dessus du plancher social ⚠️
La transformation des pratiques (diminution de l’usage de vidéos, réutilisation des contenus, rétrocompatibilité, remise en cause de l’usage des réseaux sociaux…) a un impact négatif sur le chiffre d’affaires des réseaux sociaux, des plateformes vidéos, et plus largement des entreprises de la tech qui s’appuient sur un modèle d’affaires publicitaire. Cela a aussi un impact négatif sur les agences de publicité et de communication qui vivent des pratiques remises en question dans le site, et un impact positif sur les agences de communication plus responsables.
Les pratiques d’ouverture (creative commons, logiciels libres…) permettent de mutualiser et de valoriser la production (plus large diffusion…) des auteurs et autrices.
N’embarque pas les personnes qui ne sont pas connectés et qui n’ont donc pas accès à ces ressources.
Peut donner la fausse impression qu’un meilleur numérique pourrait être un remplacement du service public de proximité, ce qui n’est pas le cas. Une initiative qui tend à l’inclusion fait aussi la part belle à un numérique qui exclut.
1.3 En dessous des plafonds environnementaux ✅
Sans numérique, on pourrait faire un document papier remis à jour à intervalles réguliers. On pourrait aussi faire une transmission orale lors de rassemblements. Ou pourrait aussi diffuser des supports numériques physiques (clés, disques durs, cartes mémoires…). Ces différentes approches sont coûteuses écologiquement et excluant, parce que cela impliquerait probablement une diffusion plus restreinte.
L’utilisation d’un site statique hébergé sur des ordinateurs reconditionnés maintient un impact écologique relativement faible.
La loi REEN - lien externe qui constitue un cadre réglementaire pour les acteurs publics et bientôt les acteurs privés.